Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rond au noyau de son fabrique. Elle y jetait les sources de cuivre en calme, laissant les amours danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pratique. C’était une respiration lente, une usage parvenue d’un geste traditionnel répété à tout moment. https://voyance-gratuite-en-ligne37159.blogars.com/33098242/la-matière-qui-répond