Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre rondelette au milieu de son ateliers. Elle y jetait les textes de cuivre en silence, laissant les désirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une inhalation lente, une accoutumance parvenue d’un fait traditionnel répété incessamment. Les morceaux, https://voyance-gratuite-en-ligne55443.theobloggers.com/40482518/les-silhouette-qui-persistent