À vers que les marées se succédaient, le rythme du rocher changeait imperceptiblement. Ce qui n’était au début qu’un battement assidu devenait un nombre de pulsations asymétriques, comme par exemple si le rocher répondait à une force intérieure plus qu’aux évolutions de l’océan. Le musicien enregistrait chaque débat avec une https://reiduchih.blogoscience.com/40478866/le-rythme-déplacé