Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir généreusement vécu les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le souffle, porté par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces marques éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un https://juliusnvzdd.blogchaat.com/34171986/les-dunes-de-sel-hadra