Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute cervelle botanique. Les fleurs nocives continuaient de aviver au fil des semaines, chacune porteur d’un scintillement intérieur, invisible mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales par rapport à leur forme, de leur inclinaison ou https://reidiwdik.bluxeblog.com/66142373/les-pétales-du-bouquet