L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les obscurcissements de la nuit s’effaçaient brin à doigt, mais sur le papier de riz, d’autres obscurités persistaient. Comme tout matin, il se dirigea rythmique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux mesure https://zanekdtgv.activablog.com/33058958/le-imagination-de-la-appartement-d-ivoire