La date des lanternes vacillait dans l’atelier silencieux du calligraphe. Assis devant son bureau, il traçait d’un acte précis les caractères sur le carton de riz, donnant l’encre s’imprégner dans la fibre raffinée. Depuis 60 jours, une chose étrange hantait son poste de travail : chaque matin, tandis que individu https://martinereoy.thenerdsblog.com/39677193/le-dernier-souvenance