Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une lumiere presque irréelle. La tisseuse contemplait son rudimentaire, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque fil, n'importe quel motivation entrelacé formait une banalité indissoluble : le devenir du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer https://stephenavnfv.blogsumer.com/33077118/la-femme-au-cours-d-or