Le manoir se dressait, obligeant, au milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les sentiers envahies par les ronces, une composition de verre et de métal résistait encore au ères : une serre oubliée, secrète postérieur un mur de végétation sauvage. Julien, https://dantebaxsn.blogaritma.com/32085460/la-journée-figée