La forêt marécageuse s’étendait sur des kilomètres, noyée dans une brume épaisse qui flottait au-dessus des eaux stagnantes. Sous la voûte des arbres noueux, les obscurcissements semblaient s’étirer, s’animer au moindre frémissement du vent. anne-clara avançait doucement sur le sentier boueux, ses bottes s’enfonçant mollement à bien chaque pas. Depuis https://eduardojsxdg.link4blogs.com/55104738/les-reflets-mouvants-du-bayous